Podcast episode 24 – en retranscription

Accepter ce qui est.

Bonjour et bienvenue sur les ondes de Back to Love, le podcast pour une vie intense, libre et sans complexe. Je suis Diane Montillaud, love coach. Ma spécialité ? Mettre un coup de pied dans les clichés pour accéder à plus de kiffe et de puissance au quotidien. Au plaisir de vous retrouver tous les jeudis pour un nouvel épisode.

Salut mes beautés et bienvenue Welcome pour l’épisode numéro 24 du podcast de Back to Love Baby. Eh oui, mais licornes cosmiques et pailletées, nous revoici encore une fois pour un nouvel épisode. Et aujourd’hui, j’ai décidé de l’appeler « Acceptez ce qui est » : oui! Et en plus d’accepter ce qui est, et bien je m’essaye à une autre façon d’enregistrer mon podcast. En général, j’aime bien écrire ce que je vais dire comme ça, c’est plus fluide. Mais c’est vrai qu’à chaque fois, à l’idée de me mettre à l’écriture et de me coller tout mon ordinateur jusqu’à ce que j’arrive à pondre trois pages écrites me plombe complètement alors que j’ai quand même une facilité de base à communiquer. Donc j’ai l’impression que je me rend l’exercice un peu plus difficile que ça ne pourrait l’être.

Donc aujourd’hui, je m’essaie à une nouvelle façon de faire mon podcast. J’allume le micro et je laisse venir ce que j’ai envie de vous dire au moment ou j’ai envie de vous le dire sans forcément le mettre sur papier. Donc cette semaine, je vais rester d’une certaine façon sur la lignée de la semaine dernière ou je vous ai parlé du fait que rien n’est grave. Je vous ai parlé bien sûr du livre de Byron Katie « Aimez ce qui est » et je me dis peut être qu’avoir quelques étapes intermédiaires pour pouvoir aimer ce qui est, ce serait pas mal. C’est pour ça qu’aujourd’hui j’avais envie de parler déjà du fait d’accepter ce qui est. Vous savez, on a l’habitude quand on lit certains bouquins qui ont compté pour nous, d’y revenir à des moments différents de notre vie, parce qu’on y trouve des choses différentes, on y trouve, voilà, des choses qui nous inspirent de façon différente. Et c’est comme si certains messages trouvés en nous une meilleure place mais que ça s’instaurer de façon plus prégnante et ce fameux « accepter ce qui est » pour moi, cette semaine en tout cas, quelque chose qui résonne très fort et c’est pour ça que j’avais envie d’en parler plus avec vous.

Je vais vous donner des exemples, mais je remarque quand même que beaucoup d’entre nous avons cette tendance naturelle, peut être humaine, que sais-je de lutter contre la réalité, contre ce qui est, contre ce qui existe, comme si on était en mode défense. Et ça nous épuise parce que ça nous frustre, parce que du coup, on voudrait que les choses soient différentes. Et j’entendais encore une de mes clientes hier me dire « oui, il fait ci, il fait ça. Il devrait plutôt faire ceci ou cela.  » Rien que de penser au fait de se dire « il devrait, il aurait dû ou elle aurait dû », c’est un temps d’énergie et de prix incroyables. Ça ne fait pas du tout avancer le schmilblick. Ça ne veut pas dire du tout que l’autre va faire comme ci ou comme ça la prochaine fois. Et finalement, on est en train d’essayer de, comme le dit très bien Byron Katie d’ailleurs, on est en train de se mêler d’affaires qui ne nous regardent pas, petite référence aux inconnus au passage, « cela ne nous regarde pas ».

Et je pense que qu’accepter ce qui est, c’est aussi en lien avec cette fameuse phrase on doit pouvoir rire, « cela ne nous regarde pas ». Je pense que c’est quelque chose dont on peut se servir comme d’un gimmick un peu humoristique pour nous ramener un peu, entre guillemets, à la réalité et à ce qui est juste dans l’instant présent. Je pense notamment à une personne de mon entourage qui est une personne de ma famille, envers laquelle j’ai du mal parfois à accepter ce qui est. Je pense même que c’est un peu le postulat de base. J’ai du mal à l’accepter comme il est et pour le coup, c’est une personne qui a tendance, j’ai remarqué, en tout cas, quand ça nous arrive rarement, ça nous est arrivé d’aller faire des courses ensemble ou ce genre de choses, elle ne dit pas bonjour aux gens, elle est malpolie, elle ne s’occupe que d’elle. S’il y a des clients avant elle, elle s’en fout. Enfin des trucs que moi je trouve exécrable parce que je suis une fille polie.

Moi a bien été élevée par ma môman et donc du coup, ça me saoule à chaque fois de la voir faire ça. Et d’une façon générale, elle s’en fout un peu. En fait, cette femme d’être agréable ou bienveillante, c’est vraiment le cadet de ses soucis et s’en cogne, elle s’en tape le coquillard. Et hier, je travaillais sur ce sujet là en moi, en introspection, et je m’amusais à aller un cran plus loin. Et je me suis rendu compte que finalement, moi, je m’obligeais beaucoup à être bienveillante et aimante et ce genre de choses et que cette espèce d’injonction intérieure finalement crée comme une espèce de pression qui m’empêchait de mieux profiter de moi clairement, et puis finalement de ma relation avec l’autre. Parce que quand on se force à aimer certaines personnes ou être bienveillant avec certaines personnes qui d’une part ne sont pas avec nous et qui en plus d’autre part s’en foutent que vous soyez ou vous soyez pas. Ben c’est finalement sur nous que ça retombe l’histoire, c’est à dire que c’est nous qui en souffrons les conséquences et nous qui ont ressentons les émotions plombantes et qui nous prenons la gueule avec en plus quand on se retrouve enfin tout seul chez soi.

Donc finalement, c’est « bénéf » pour personne ce truc. Parce que oui, j’ajoute qu’en plus on a des rancoeurs vis à vis de cette personne qui a généré en nous alors qu’elle a rien généré du tout, nous a rien branché dans le cucul. C’est bien nous qui ressentons toutes ces choses avec elles. Donc, plutôt que de me dire à quand même elle devrait être plus polie, elle devrait dire bonjour, elle devrait gnagna etc et de m’emmerder toute seule la vie avec, je devrais m’occuper de ma vie, « cela ne me regarde pas » et accepter cette femme comme elle est. Elle est comme ça. Donc, plutôt que d’essayer de détourner la réalité, de danser autour de la réalité comme on danserait autour du pot, vous voyez, j’imagine toujours des espèces de danses bizarres là ou on se tortille le cul cul pour faire une danse de la pluie sous le ciel étoilé avec une plume dans le « hum ». Donc voilà, plutôt que de danser autour de la réalité et dire « non mais non elle est juste pas polie, mais c’est pas grave. Oui Monsieur, je veux dire bonjour pour la dame, excusez moi, elle est tellement désagréable, pardon, pardon ! » Non, je vais arrêter de danser comme une counasse autour de ça. Et je vais juste accepter les choses telles qu’elles sont, la réalité telle qu’elle est brute de décoffrage et apprendre à me sentir tout à fait OK, comme diraient les coachs, avec cette réalité. Comment accepter la réalité telle qu’elle est ? Eh bien, je pense que ça implique tout simplement à chaque fois qu’on a envie de dire « rholala il ou elle aurait dû faire ça à là. Mais ça ne se fait pas de blablibloublou ou de réagir comme si et que blabla avec machin truc » On devrait plutôt à chaque fois se dire « cela ne nous regarde pas » et s’occuper au contraire de ce que cela réveille en nous parce que je me suis rendue compte que finalement ce que cela éveillait en moi, sa façon à elle de réagir, c’est ma propre obligation, ma propre injonction intérieure de « Diane sois gentille, soit aimante et soit bienveillante. » Et cette femme, elle me ramène à ça malgré tout. Ce qui m’énerve chez elle, c’est ce que moi je m’empêche de faire.

C’est pas mal quand même. Je trouve que c’est plutôt une bonne chose d’aller faire cette petite introspection parce que je pense vraiment qu’en faisant ce travail d’accepter ce qui est et, par exemple, si vous avez quelqu’un qui a tendance, je sais pas moi à hurler, à se foutre en colère pour tout et n’importe quoi et que ça vous stresse et que ça vous fout hors de vous. Comment est ce que vous pourriez plutôt que de vous dire « Punaise, j’attends le moment ou il se calmera enfin, ou elle se calmera enfin, ou elle saura dire les choses correctement ou etc etc » plutôt que de se dire ça, est ce que ça ne vaut pas plus ce coup de vous dire « ok, qu’est ce qui me met en colère ? Qu’est ce qui me dérange dans le fait que cette personne réagisse comme ça en colère ? Comment je pourrais accepter le fait que ces personnes se foutent comme ça en colère et le vivre bien ? » Ça, c’est une vraie question. Et c’est une bonne question ? Parce que c’est une question qui repose sur nous. C’est sous notre contrôle à nous ça.

On n’a pas besoin d’attendre que l’autre bouge. Parce que vous imaginez si on attend que les autres bougent les lignes, on va pouvoir attendre longtemps et on va être frustré et malheureux pendant très longtemps. Donc se poser cette question comme ça et finalement être vraiment dans une espèce d’acceptation de ce qui est et se dire « je m’engage à partir d’aujourd’hui à accepter les gens et les choses comme elles sont, sans vouloir les transformer, sans vouloir les faire bien ou les contrôler. » Parce que ça, c’est vraiment une grande illusion qu’on partage tous ou on est nombreux, en tout cas, je remarque, à vouloir un peu rediriger l’itinéraire et en lâchant ça en disant « et bah non, je prends les choses telles qu’elles sont et les gens telles qu’elles sont », qu’est ce que ça va changer ? Comment est ce que je peux reprendre le pouvoir sur moi ? Je pense vraiment qu’en faisant cet exercice là, on est entre guillemets, amené, invité à vraiment se recentrer sur nous et sur ce qui nous regarde et non pas sur ce qui ne nous regarde pas.

Voilà, je pense qu’on s’occupe beaucoup de ce qui ne nous regarde pas et qu’on oublie souvent de s’occuper de ce qui nous regarde. Bref donc du coup, cette notion d’accepter ce qui est. Et pour poursuivre, je me propose de faire cet exercice en live avec vous par rapport à une autre personne de ma famille que je connais bien. Je dis toujours que nos amis et notre famille sont nos meilleurs maîtres pour évoluer. Donc, tout ce qu’ils révèlent tout ce qu’ils génèrent comme colères, comme émotions, grandes et petites, en nous, finalement parle de nous. Donc ce sont nos meilleurs maîtres pour travailler sur nous, donc profitons en de se servir de tout ce qui nous agace, de tout ce qui nous rend triste, de tout ce qui nous « maoowwww » autour de nous. Pour aller justement travailler dessus. Donc je vais faire cet exercice en live avec vous. Je vous dis que si on a peut être un intérêt et peut être que ça vous intéressera de suivre le processus et de pouvoir en faire autant de votre côté.

Donc, je pense notamment à mon père qui a une fâcheuse tendance à répondre ou à dire les choses avec un air énervé, comme si on aurait du savoir avant la réponse à la question qu’on vient me poser et qui, si on comprend pas tout de suite en plus, redouble d’énervement et s’agace très vite, qui s’agace très vite et qui s’énerve. Et c’est vrai que dans la famille on le dit souvent punaise, mais apprends à parler et arrête de gueuler. Donc du coup, on ne peut pas dire qu’on l’accepte exactement tel qu’il est et qu’on accepte les choses telles qu’elles sont. On est en train de lui dire « tu devrais parler plus gentiment, tu devrais arrêter de s’énerver » et donc là, moi, je veux prendre le temps d’introspecter « qu’est ce que ça génère en moi quand il s’énerve », en fait, je remarque que je ressens que mon père s’énerve et s’agace et s’impatiente lorsque l’on est en train de parler. Je vois que moi je me sens, j’ai tendance à me sentir petite, nulle et un veau. Voilà, je ressent le veau en moi.

Grosso modo, c’est un peu ça l’idée. Donc, évidemment, ce n’est pas le fait que mon père s’impatiente ou se mette à peter une durite qui me blesse. C’est le fait que c’est moi, ma façon à moi de le vivre et de l’interpréter finalement qui me blesse. Cette impression d’être un veau. Pas savoir les choses que j’ai l’impression que je devrais savoir quand même « quelle idiote! », qui est finalement une autre façon de ne pas accepter la réalité, hein ? Non, je ne sais pas et je l’accepte. Donc, qu’est ce qui me blesse là dedans ? Qui me touche si je vais un cran plus loin ? Et en fait, je me rends compte que j’ai une grande peur d’être lente. Moi qui suis en effet, pour ceux qui me connaissent, plutôt rapide, je crois que ça me met face à ma peur d’être lente, d’une part, et à cette impression que si je ne vais pas assez vite et si je ne suis pas le mouvement, si je cours pas avec l’autre, eh bien je vais être rejetée en bloc pour ces deux pensées qui mériteraient que je travaille dessus pour me sentir plus à l’aise quand mon père pète un câble.

Et comment est ce que je pourrais le vivre mieux ? Le fait qu’il s’énerve et qu’il s’impatiente va peut être accepter la réalité et accepter ma réalité. Ecoute, papa, j’adorerais comprendre aussi vite que tu m’expliques les choses et que c’est évident pour toi. Mais rendons nous à l’évidence. Je n’ai pas ta rapidité d’esprit. Je n’ai pas compris ce que tu m’as dis et j’entends que tu veux me le faire entendre et comprendre avec panache, avec tonicité. Mais moi, je n’y arrive pas. Donc soit tu m’expliques calmement et je comprendrai peut être je te garantis rien. Soit tu continues comme ça. Il y a des chances que je ne comprennes pas, mais ce n’est pas grave. » Est ce que juste le fait de le comprendre en fait et de lui dire « Oui, je sais. Je comprends que ça soit agaçant. Je ne comprends pas, c’est vrai, mais moi ça m’agace. J’aimerais mieux comprendre. Je comprends ton énervement.  » Est ce que ça ne va pas le calmer finalement, même si pour le coup c’est pas le but, mais on sait jamais.

Je pense que plus on accepte les choses telles qu’elles sont, plus la réalité nous paraît douce et elle le devient. Je ne sais pas. La question est posée, mais vous voyez qu’en fait, typiquement, à chaque fois que quelque chose nous arrive qui nous semble désagréable, ce n’est que nos pensées à ce sujet qui sont désagréables et pas la situation en elle même. Donc autant accepter les choses comme elles sont. Et c’est vrai que tant pour la femme dont je vous parlais au début de mon entourage que pour mon père, finalement, accepter les choses comme elles sont, ça permet d’être moins en défense, d’avoir moins peur de se dire « ohlala zut elle va s’énerver ou elle va être mal polie, te dire « pouh de tte façon je m’en fiche, je me détend tranquillement. Ils vont pouvoir être exactement qui ils sont et moi je vais pouvoir bien le vivre parce que de toute façon, c’est la réalité. » Pourquoi me crisper ? Et pourquoi vouloir que les choses changent alors que les choses sont comme ça ? Vous savez, c’est comme les clichés qu’on sort sur les femmes et les hommes.

Oui, que les hommes ont du mal à communiquer leurs émotions, par exemple. Ça, c’est un des clichés et que les femmes s’énervent pour un rien, par exemple. Bon, ben c’est des gros clichés et heureusement, ce n’est pas toujours vrai. Mais n’empêche que c’est souvent vrai que pour ce qui concerne les hommes qui ont du mal à communiquer leurs émotions, c’est drôle parce que plutôt que de vouloir que ça change, l’accepter tel que c’est en fait, accepter que oui. Il faut arrêter de vouloir que les gens soient comme nous, parce que c’est souvent ça, en fait, l’idée derrière, c’est de dire …Je vois certaines femmes, en tout cas certaines de mes clientes, qui s’énervent parce qu’elles aimeraient que leur compagnon soit comme elle, soit aussi attentionné qu’elles pensent autant à elles, qu’elles pensent à eux, autant se mettre avec un miroir. Quel est l’intérêt de commencer à accepter que nous avons nos qualités et nos défauts et que c’est pareil pour l’autre ? Et vouloir s’acharner sans cesse sur ce qu’on considère être des défauts chez l’autre, c’est se faire du mal à soi.

En fait, au delà du fait qu’en plus on est désagréable avec l’autre et que ça n’arrange personne. Mais c’est aussi un truc que je dis souvent dans la vie de couple et un truc dont j’ai sûrement déjà parlé dans des épisodes précédents. Mais c’est que la personne avec qui vous êtes, plus vous l’acceptez telle qu’elle est, sans vouloir changer, plus vous le vivez bien et plus vous avez de chance d’avoir un couple épanoui qui sait se rendre heureux entre guillemets et une de mes forces d’ailleurs dans mon couple actuel, c’est que j’ai jamais essayé de changer Hervé ou de me dire je suis avec lui pour son potentiel. Vous savez, ces femmes qui disent « ouais non mais parcequ’il a un bon potentiel. Bon il n’y est pas encore là, mais on y travaille. » C’est pas top, ni pour lui ni pour elle, parce que ça veut dire qu’il y a une attente quelque part qui est forte et que si cette attente n’est pas remplie, ça va créer de la frustration, des colères, des engueulades, bref, pas que du beau.

Donc accepter l’autre tel qu’il est, ne pas vouloir changer et apprécier. Apprécier toutes les couleurs entre guillemets que l’autre représente. Accepter que, comme je vous l’ai souvent dit, ses défauts font aussi ses qualités et ses qualités font ses défauts. Ça permet de relativiser et de se détendre en soi et toujours, encore et toujours de se remettre en question et se dire ok, c’est quelque chose qui me sort par les trous de nez, je prends le temps de faire ce travail d’introspection, et de me demander ce qui me gave là dedans et de le retourner. Et pour ça, vous avez plein de méthodes et d’approches différentes. Vous avez le modèle de Brook Castillo, dont je vous ai déjà parlé. Vous avez le travail de Byron Katie qui permet aussi de retourner ces questions là et qui sont tous les deux des super outils pour nous aider à transformer nos pensées et à se libérer de tout ce qui nous empêche de mieux jouir de notre vie et de mieux accepter ce qui est. D’ailleurs Eckart Tolle, celui qui écrit le pouvoir du moment présent le dit très très bien.

Il dit grosso modo que soit on accepte les choses telles qu’elles sont, soit on s’en va, mais que l’entre deux, c’est de la folie. Voilà mes amis. C’était donc un podcast en mode « One again et bistoufly », sans écriture au préalable. Donc c’est vrai que c’est un peu plus olé olé comme format, mais pour le coup, pour moi c’est beaucoup plus fluide et beaucoup plus naturel. Ça me demande beaucoup moins d’efforts. Si je veux garder un podcast sur le long terme, je pense qu’il vaut mieux que peut être ce soit un peu moins parfait en amont. Quand je l’écris le podcast, je vais pas faire de recherches. Je prends juste le temps d’organiser un peu mieux mes pensées et de les mettre par écrit. Mais rien que de faire ce travail là d’organisation de mes pensées, ça me fatigue en fait. Donc j’ai préféré opter pour ça. Cette fois, on verra ce que ça donne. J’attends vos retours. Si vous me dites que c’est inentendable, c’est vraiment trop dégueulasse, eh bien, je me contraindrais à revenir à la discipline de l’écriture. Et pour le coup, je pense que si je veux tenir sur la longueur et sur la durée, il vaut mieux que je reste sur ce format un peu plus libre, qui correspond mieux à ma nature et à ce que j’ai envie de proposer.

Sur ce mes amis, je vous embrasse, je vous encourage à accepter ce qui est et à regarder du coup ce qui, dans votre entourage, vous prend la tête et qui est le plus difficile à accepter pour que vous alliez faire ce travail d’introspection. Et pour le coup, n’oubliez pas que vous avez aujourd’hui pléthore de coachs qui peuvent vous accompagner à aller regarder ce que ça réveille en vous. Parce que ce qui est génial avec ces exercices là, c’est finalement on apprend à mieux se découvrir soi même et à mieux profiter de notre vie à son plein potentiel. D’ailleurs, je m’excuse pour la qualité du son qui était absolument dégueulasse aujourd’hui. Je ne sais pas trop pourquoi. Pour tout vous dire, mon portable qui était peut être à côté du micro, plus le fait que j’enregistre dans mon garage plutôt que dans mon bureau habituel.

Peut être que tout ça a fait que le son n’était pas au top. Je m’en excuse et je ferai mieux la prochaine fois. Je vous embrasse et je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode du podcast de Back 2 Love.

Si ce podcast vous a plu et que vous voulez en savoir plus, n’hésitez pas à me rejoindre au sein d’une communauté de femmes dynamiques et inspirantes qui sont prêtes à reprendre leur puissance pour créer la vie amoureuse et professionnelle de leurs rêves. Pour se retrouver moi sur mon site internet www.diamonjoy.Fr ou sur les réseaux sociaux tels qu’ils sont indiqués dans le résumé de ce podcast. À jeudi prochain pour un nouvel épisode.