Podcast épisode 29
Episode 1 saison 2

Bonjour et bienvenue sur les ondes de Back to Love, le podcast pour une vie intense, libre et sans complexe. Je suis Diane Montillaud, love coach. Ma spécialité ? Mettre un coup de pied dans les clichés pour accéder à plus de kif et de puissance au quotidien. Au plaisir de vous retrouver tous les jeudis pour un nouvel épisode.

Salut, mes beautés fatales. Ça fait longtemps que je ne vous ai pas retrouvé sur ce canal, sur ce podcast. Eh bien, je vous souhaite la bienvenue pour la saison deux du podcast de Back to Love. Après les 28 épisodes de la saison un, j’ai décidé de rempiler cette année puisque comme vous l’avez compris, je vais doucement mais sûrement espacer mes épisodes sur la fin de l’année dernière pour finalement n’en sortir aucun sur ces trois quatre derniers mois. Et je ne reviens que plus excitée que plus emballée que plus créative pour vous proposer toujours plus de réflexion philosophico-mentalo sur l’amour, les hauts et les bas, le couple, le célibat et toutes ces choses qui nous posent question parfois, pour ne pas dire tout le temps, ça dépend d’où on le regarde.

Bref, bienvenue. J’ai décidé, pour ouvrir le bal de cette saison deux, du podcast de Back to Love – la meuf qui se répète un peu – de vous parler du scénario de naissance. Et oui, car finalement, le cœur de mon métier passe essentiellement par cette approche. Cette méthode, c’est cet angle de vue. Et j’ai remarqué aussi que c’est lorsque j’en parlais autour de moi, à mes clientes, à mes amies, que l’intérêt grandissait pour cette approche. Parce que tout de go comme ça, de but en blanc, parler de naissance, ça laisse tout le monde un peu interdit, voire même complètement. Quoi ? Qu’est ce qu’il y a à dire à ça ? Mais c’était il y a si longtemps. Mais qu’est ce qu’on en a à faire, à part à part parler des accouchements des copines récents ? Quel est l’intérêt de reparler de son scénario de naissance ? C’est pourtant importantissime et j’avais envie de vous faire part de mon enthousiasme vis à vis de cette approche, de cette compréhension des choses dont je pratique finalement la philosophie et l’approche depuis plus de douze ans et qui me fascine toujours autant.

Et je trouve encore aujourd’hui, je bosse encore aujourd’hui sur mon scénario de naissance. Eh oui, on peut encore oser dessus. Il y a toujours des angles, des choses qui se révèlent à mesure que des expériences de vie se présentent à nous, que des choses se révèlent à nous. Vous savez que notre inconscient est profond et ne veut pas dire infini. Peu. Il y a toujours des choses et d’autres qui reviennent à notre conscience que nous pouvons toujours nettoyer, neutraliser, conscientiser, apaiser, élaguer. Voilà qui, moi, personnellement, a changé ma vie et a changé la vie de pas mal de mes clientes et de mes clients. Donc ça me semble être quand même un beau sujet de réouverture de cette saison numéro deux que de parler de ça puisque puisqu’on pourrait en parler en fait très longtemps et je pourrais en parler sans m’arrêter. Mais je ne veux pas rentrer dans le détail du détail parce que ce n’est pas du tout le but de ce podcast, mais c’est de vous rendre curieux et peut être de vous sensibiliser un peu à ça puisque puisqu’en fait, on dit souvent que dans nos sociétés, on parle très très peu de la mort.

Et c’est vrai que c’est quand même un sujet tabou dont on ose à peine s’approcher ou sinon en tremblant. Et finalement, je crois qu’il en est pareil de notre façon d’arriver au monde. Nous parlons très peu de notre arrivée au monde et et sur les réseaux sociaux, on voit essentiellement nos amis qui postent les naissances de leurs tout petits sans nous décrire la façon dont il ou elle est venue au monde, alors que c’est pourtant absolument fascinant et que ça peut en dire long sur sur la façon dont il ou elle percevra la vie plus tard. Même si, encore une fois, nous sommes tous uniques et nous avons tous une façon d’interpréter le monde qui nous est propre. Mais il y a quand même, c’est vrai, il faut quand même le dire, des points communs selon la façon dont nous venons au monde. Et c’est intéressant d’en parler. Donc aujourd’hui, nous allons parler un peu de notre façon d’arriver sur cette terre, parce que notre façon d’arriver sur cette terre, elle détermine finalement énormément de notre perception de ce qui nous arrive au quotidien, de nos ressentis, de nos blocages, de nos pensées limitantes.

Bien sûr, il participe aussi à tout ce que nous trouvons fantastique, à ce qui nous fait vibrer, à ce qui nous fait désir, à ce qui nous pose question. Mais tout ça est fortement lié et en prendre conscience et mettre de la lumière dessus, c’est quand même un superbe cadeau à se faire. Et c’est pourquoi aujourd’hui, je m’en fais l’avocate avec grande joie au cas ou vous n’aviez pas compris. Et pour ceux qui se demandaient comment j’avais depuis mon confident que je me suis arreté cet été. Et bien, comme vous pouvez l’entendre, nettement mieux. Heureusement que l’énergie revient parce que j’ai eu à un moment donné pendant cette phase de Coville ou j’ai cru que je ne m’en sortirait pas. C’est vraiment un truc hyper angoissant et en même temps de toucher le fond de la casserole. Ça permet de pouvoir remettre en perspective certaines choses de notre existence et de pouvoir en sortir finalement plus fort. Un peu mis à jour pour une nouvelle appréhension de notre quotidien donc. Donc après ce passage fort éprouvant, j’en ai tiré beaucoup d’enseignements.

Et un renouveau et un regain d’énergie et de motivation que je n’imaginais pas. Donc, n’ayez crainte, si vous avez Coville, c’est peut être en effet très éprouvant si vous l’avez déjà pas déjà vu. Mais j’imagine que vous avez remarqué que derrière, il y a quand même du positif dans tout ça et que la vie est toujours plus forte finalement que toutes ces choses là. Bref, je dévie donc aussi dans un des sens. Alors par quoi commencer, si ce n’est que. Imaginons un instant prenez une grande respiration ou que vous soyez et imaginez un instant. Qu’avant d’être adultes, rationnels et philosophe sûrement, vous avez été vous aussi un tout petit être en construction dans le ventre de votre mère. Et que, comme tout un chacun, vous n’aviez à votre disposition que le bagage génétique. Que c’est déjà beaucoup. En effet, le bagage génétique de vos parents, et pas que le bagage génétique, émotionnel, expérientiel. Bref, tout un tas de choses dont on a pas encore pleinement conscience aujourd’hui, mais que l’on retrouve systématiquement lorsque l’on remonte et que l’on veut vraiment faire un travail en profondeur jusqu’à quatre générations qui vous précèdent.

Vous étiez un peu empreint de tout ça et vous aviez à votre disposition des parties de votre cerveau, comme la partie limbique et reptilienne, qui font que on perçoit t’ouvre. À ce moment là de notre vie. Sans filtre, sans filtre aucun, puisque c’est avec le néocortex, cette dernière partie du cerveau que nous allons développer jusqu’à nos 24 ans, que nous pouvons apprendre à prendre du recul par rapport aux choses et à pouvoir mieux rationaliser et philosopher. Mais même je ne sais pas si vous avez remarqué qu’il y a souvent, et je vous en ai déjà parlé dans d’autres podcasts, voire dans d’autres épisodes. C’est sûr, il y a souvent un décalage entre notre esprit bien fait et rationnel qui a compris plein de choses et notre réalité émotionnelle. Ou parfois, nous avons l’impression qu’il y a un fossé entre notre façon de penser et notre façon de ressentir le monde. N’est ce pas ? Ici, la clé était encore une fois dans notre façon de percevoir le monde. Alors que nous étions, nous n’étions encore que des bébés ici, ça tentait nos vies bien plus que nous n’imaginons.

Et si cette phase que nous avons ignorée pendant si longtemps que la médecine a ignoré pendant si longtemps, je vous rappelle que ça fait que peu d’années que on anesthésie les bébés à la naissance lorsqu’ils ont besoin d’être opérés. Je vous laisse imaginer le drame de ceux qui n’ont pas eu cette chance et dont certains foulent encore la planète d’ailleurs, parce que des personnes de 70 ans ou dans ses environs là ont eu la malchance, entre guillemets, de se faire opérer alors qu’ils étaient des nourrissons et d’avoir été parfaitement ignorés dans leur douleur. Je vous laisse imaginer l’impact que ça peut avoir sur eux aujourd’hui. Je vous donne un petit exemple qui me revient en tête un monsieur d’une 60 dizaine d’années en effet, qui avait eu en effet cette expérience bébé. Heureusement, il avait cette information là et ce qui a expliqué en fait qu’il avait un mal absolument immense à se connecter à toute forme d’émotions. Étant donné que vous imaginez bien les premières émotions qu’il a ressenti sur terre était tellement insupportable de douleur qu’il a préféré se couper absolument, complètement et que même certains exercices pour se reconnecter à ses émotions étaient d’une complexité folle pour lui, étant donné que il avait en gras ce souvenir puissamment dans chacune de ses cellules.

Et donc voilà, ce monsieur était complètement imperméable, plutôt imperméable à n’importe quelle émotion autour de lui et aux siennes encore plus. Pour la petite histoire, c’est vous dire à quel point le scénario de naissance laissons nous une empreinte qu’on ne peut pas nier et que plus on en est conscient, plus on se rend compte à quel point, en effet, laisse une impression forte à l’intérieur de nous. Donc imaginez, vous avez été ce petit être sans défense et nous faisons partie de ces mammifères sur terre qui avons besoin de beaucoup de soins et qui sommes très dépendants finalement à notre entourage jusqu’à un certain temps, jusqu’à un certain âge. Nous sommes le mammifère qui a besoin le plus longtemps d’une aide extérieure à lui même pour pouvoir se sentir autonome et vivre sa vie dans de bonnes conditions. Donc ça nous laisse extrêmement vulnérables et finalement dépendants de notre entourage. Et il y a une part de nous qui est bien consciente de ça lorsque nous sommes dans le ventre de notre mère. Et c’est pour ça que ça fait de nous des espèces d’antennes satellites qui captent tout ce qui se passe tant à l’intérieur et à l’extérieur de nous, tant dans les émotions de notre mère, de tout ce qu’elle traverse, que ce qu’elle capte et ce qu’elle interprète aussi, de ce qui se passe autour d’elle.

Et nous captons bien plus de choses que nous ne pouvons l’imaginer. Et quand bien même votre esprit rationnel irait un peu à l’encontre de ça, croyez moi, j’en ai la preuve tous les jours à quel point nous captons bien plus de choses que nous pouvons l’imaginer et à quel point ça nous poursuit et ça nous suit tout au long de notre vie. D’ailleurs, quoi qu’en dise votre esprit cartésien, plus un docteur s’est penché sur ce sujet, notamment le docteur Thomas Verny qui a écrit un livre qui s’appelle La vie secrète de l’enfant avant sa naissance et qui justement était cliniquement en fait, cette nouvelle perception des choses que le lien parent enfant se noue dès avant la naissance et qui a déjà beaucoup de choses que l’on capte et que nous sommes influencés par tout ça. Donc voilà, nous sommes au Petit Théâtre et nous sommes déjà dans une recherche de place. Savoir comment nous allons nous positionner, quel va être notre rôle, notre mission pour pouvoir être intégré sur cette terre au sein de cette famille et. Et encore une fois, il faut différencier ici l’absolu du concret du relatif.

C’est à dire que, bien sûr que certains d’entre vous qui m’écoutez est convaincu et croyez dans un dans un absolu ou on choisirait de s’incarner sur cette terre et que notre âme aurait décidé. Et l’un n’empêche pas l’autre, et c’est tout à fait probable. Sauf qu’au moment ou nous incarnons justement, nous nous incarnons dans un corps physique avec à notre disposition ma foi, des limites physiques, biologiques, biochimiques. Et il faut aussi faire avec ça. Et nous avons beau avoir tout plein de velléités et d’aspirations et de spiritualité en nous, nous sommes quand même fortement reliés par la gravité et et la gravité terrestre bien sûr, et notre notre corps de chair et nos empreintes émotionnelles et tout ce que nous avons pu. Recevoir à ce moment là. Donc faites bien la différence entre l’absolu et le relatif. Et à quel point, justement, ça détermine notre vie future, notre vie émotionnelle ? Et à quel point de faire le clair là dedans ? De pouvoir justement nettoyer tout ce qui a fait notre inconscient afin de pouvoir le mettre en lumière pour le conscientiser.

Ça va nous permettre justement de pouvoir ressentir et vibrer plus de cet absolu qui nous ouvre, qui nous fait vibrer, qui nous parle, parce que nous avons tous comme une espèce de nostalgie, comme le dit très bien Arouna Sheets que j’aime beaucoup, que je vous conseille d’ailleurs de lire ou de regarder sur YouTube. Et qui parle de cet ailleurs, de cette source inconditionnelle de laquelle nous venons et à laquelle nous retournons ? Encore une fois, les croyances des uns et des autres sont différentes. En tout cas, moi, je crois beaucoup à cette espèce de source à laquelle nous venons, à laquelle nous retournons et cette nostalgie de cette espèce d’endroit parfait. Donc, en fait, c’est ça cette expérience sur terre, le challenge de nos vies de devoir prendre une forme, de devoir choisir entre guillemets un sexe pour s’incarner et pour certains, de changer d’avis en cours de route. Et chacun a son chemin sur cette terre et tout est très pertinent. Bref, encore une fois, j’ai tendance à dévier légère, légère tendance à dévier.

Mais vous comprenez bien que tout cela a laissé une empreinte et que encore une fois déjà, ce que nous avons vécu dans le ventre de notre mère est très puissant et laisse plein de traces. Mais en plus, notre arrivée sur terre à proprement dite, qu’on appelle le trauma de naissance, c’est comme ça que c’est appelé en psychologie. À l’essai aussi, on nous montre des empreintes. Je dis souvent, pour faire une référence un peu à la médecine chinoise, que nous avons comme des canalisations à l’intérieur de nous, ces fameux méridiens dont on parle en médecine chinoise. J’appelle ça des canalisations et que toutes ces canalisations, si vous voulez, ont été quelque part un peu un peu bloquées, un peu grippée par certaines des émotions, des vécu et des ressentis que nous avons vécu à ce moment là, sans filtre, comme je vous le disais. Et c’est comme si c’était venu quelque part se cristalliser à l’intérieur de nous. Des peurs sont venues se cristalliser autour de nous, des blocages dont nous avons plus ou moins conscience et souvent plus tôt, moins que plus, et que certaines de nos histoires d’amour ou de mes histoires de vie révèlent.

Et c’est bien là tout le cœur de mon métier. Vous savez que je suis love coach spécialisé dans les choses de l’amour que j’accompagne les femmes et les hommes et les couples encore plus à pouvoir justement créer plus d’amour et de conscience dans leur vie. Et on se rend compte, pour ne pas dire 100 % du temps, que 90 du temps, pour ne pas dire 100 % du temps. C’est peut être mieux comme ça si j’oublie un bout de la phrase ne veut plus rien dire. Que en fait, toute notre relation à l’autre est teintée de ces premières perceptions que nous avons eues en arrivant sur terre et qu’en faisant le ménage là dedans, ça nous permet de pouvoir créer des relations de plus en plus en adéquation avec ce qu’on veut vraiment créer, avec ce qui nous inspire et ce qui nous fait vibrer et pouvoir réaligner tout ça, la matière. L’annonce est primordiale. C’est pour ça que j’ai choisi d’ailleurs love coaching et comme domaine de prédilection, même si c’est vrai qu’en plus c’est venu à moi assez instinctivement puisque depuis mon plus jeune âge, j’ai souvent été le conseiller Love de mes amis et que mes clients me parlaient souvent de ce sujet là.

Donc, c’est finalement pas mal de contexte et de circonstances qui ont fait que j’en suis arrivé là. Mais c’est vrai qu’être au cœur de nos histoires d’amour, de nos rencontres, de nos couples, ça nous ramène inexorablement. En fait, à cette histoire là, à cette histoire initiale, primale, essentielle en nous qui pourtant ai laissé très à l’abandon et très dans l’ombre par nos parents, par la société. D’une façon générale, et même la façon dont nous arrivons sur terre aujourd’hui pour la plupart, est encore assez froide et je dirais même dénuée de douceur, pour ne pas dire violente, parce que je n’aime pas tenter ou interpréter ce que d’autres n’interprète pas comme ça. Il y a heureusement de plus en plus de gens qui sont sensibles à l’arrivée sur terre de leurs enfants, mais c’est un peu un extrême ou l’autre assez. Soit on est en mode péridurale et c’est le médecin qui décide pour nous si on se sent capable ou pas de donner naissance à nos enfants. Ou alors c’est carrément des des super woman qui accouchent chez elles, qui gardent le placenta.

Bref, chacun a ses façons de faire et tout est absolument juste entre guillemets. D’une façon ou d’une autre, on ne fait que ce qui nous semble évident et juste et vrai pour nous au moment même. Et donc c’est absolument parfait. Mais de mettre de la conscience là dessus sur notre façon d’arriver sur terre et à quel point justement ça peut influer notre vie, eh bien, ça donne envie aux uns et aux autres. Peut être, de pouvoir, en effet justement accompagner mieux les naissances futures de ce monde. En tout cas, ça fait partie de mes missions de vie d’inspirer un maximum de gens à mettre plus de conscience sur leurs scénarios de naissance afin que plus de conscience soit à. Porté au scénario de naissance de nos enfants, de nos petits enfants et de tous ceux qui arrivent sur terre maintenant ou bientôt. Puisque je suis convaincu qu’en soignant la façon dont on arrive sur terre, on soigne déjà l’être, l’être en devenir et qu’on peut changer le monde aussi en changeant la façon dont on accueille les êtres sur terre.

De la même façon qu’aujourd’hui, la mort, en effet, est un peu laissée à l’abandon dans un coin, dans des Epad, j’en passe et des meilleures. Je ne vous apprends rien. Vous savez très bien de quoi je parle. Donc comment honorer notre arrivée sur terre et honorer nos anciens ? Comment rendre leur place à chacun de ces moments extrêmement forts et symboliques pour toute vie et que nous avons traversé de par notre arrivée sur terre et que nous traversons. On part en quittant cette terre et je pense que mettre de la conscience sur ces passages très forts et très symboliques ne peut que nous faire du bien et ne peut que nous rapprocher les uns des autres et générer plus d’amour dans ce monde. Bombes. Écoutez, je crois que je suis parti un peu en sucette live sur ce podcast en mode open Mike ou j’ai juste allumé allumé le micro. D’ailleurs j’espère que l’enregistrement est bon parce que c’était un one shot complet. C’était à la fois l’effervescence de mes retrouvailles avec vous sur ce podcast et en même temps l’engouement que j’ai profondément pour cette.

Pour cette phase de notre vie qui me semble absolument importantissime, qu’on laisse tellement, tellement je trouve aux oubliettes. Je trouve très peu de gens, très peu de thérapeutes d’une façon générale, qui ont conscience de ça. Et c’est pourquoi j’adore travailler d’ailleurs dans ma pratique avec certains thérapeutes qui viennent travailler sur eux avec moi, et j’adore pouvoir justement les sensibiliser à ça. Et je vois très vite qu’ils ont capte toute la puissance et qu’ils mettent en œuvre assez naturellement avec leurs méthodologies et leurs propres clientèles. Donc voilà donc je vous encourage à vous demander à vous poser la question comment ? Si j’arrivais sur terre, n’hésitez pas à en parler avec vos parents, vous allez voir que c’est. C’est fascinant les discussions, que ça peut que ça peut amener. Oser leur rôle, oser leur poser des questions, du style est ce que tu te rappelles quand tu m’as conçu avec papa, ce que je rappelle ou c’était dans quel état d’esprit tu étais ? Est ce que tu te rappelles ? Voilà les trois grandes phases trois trimestre de la grossesse, comment ça s’est passé, à quoi tu pensais et qu’est ce que tu vivais ?

Et qu’est ce que tu traversez à ce moment là ? Et puis, et puis demander bien sûr comment s’est passée l’accouchement. Est ce que c’était long ? Est ce que c’était rapide ? Ce qui a eu besoin d’aide ? Qui a eu besoin des forceps ? Est ce qu’elle a eu peur ? Est ce qu’elle a eu une péridurale ? Est ce qu’elle a été en césarienne ? Il y a tellement de choses à poser comme question. Et puis, et puis. Et puis l’accoucheur, est ce que c’était ? Est ce que c’était un ou une meuf sympa ? Est ce que c’était quelqu’un qu’elle aimait bien ? Est ce que c’était quelqu’un qui ne pouvait pas encadrer ? Tout ça a énormément de symbolique et de poids de notre arrivée sur terre. Et si ça vous intéresse, eh bien ma foi, de toute façon, je ne pourrais pas m’empêcher de faire un webinaire sur le sujet qui durera du coup bien plus longtemps que ce podcast et ou je pourrais aller un peu plus en profondeur et mieux vous expliquer, par exemple, à quel point différentes façons d’arriver sur terre laisse différentes empreintes.

Et même si ça reste le haut de l’iceberg et que ça n’est qu’une toute petite parcelle de de tout ce que chacun d’entre nous, dans son individualité, peut interpréter et garder en lui, et à quel point la face de cette empreinte laisse une trace unique de notre présent aujourd’hui, dans nos histoires d’amour, dans notre relation au monde, aux autres et à nous mêmes en général. Par ailleurs, une petite précision que ceux qui n’ont absolument pas envie de parler de ça avec leurs parents ou dont les parents sont morts ou qui n’ont aucune information sur leur naissance parce qu’ils ont été soit abandonnés, soit plus personne n’est là pour leur raconter, se rassure parce que ce n’est pas un problème. En fait, on peut récupérer toutes ces informations là. Notre réalité émotionnelle, elle fait partie de notre quotidien et on, c’est toujours assez facile en fait, de les retrouver. Toutes ces perceptions, ces premières perceptions de vie, on a toujours peur de pas s’en souvenir. Mais vous inquiétez pas, vous avez pas besoin de vous en souvenir à proprement dit.

Tout est là, au bout des lèvres et il nous faut presque rien pour récupérer toutes les infos et finalement les infos qu’on demande à nos parents quand ils sont là et qu’on peut avoir ces informations là. C’est toujours intéressant d’avoir ces infos, mais de toute façon ça ne détermine pas dans les faits par A+ B notre ressenti émotionnel et c’est juste pour avoir un peu plus de croustillant, un peu plus de détails et ça permet de conscientiser certaines choses un peu plus clairement. Mais vous n’avez pas besoin de ça pour pour travailler sur vous et sur votre naissance. Voilà, écoutez, n’hésitez pas à me partager ce que vous avez pensé de ce podcast de redémarrage de la saison deux sur les réseaux. Bien sûr, vous savez que vous pouvez toujours me suivre sur un site sur Facebook. Toutes les infos ont fondu en fin de ce podcast. Je vous embrasse bien fort, je suis ravie de vous retrouver. Je ne sais pas à quel rythme je vais reprendre cette saison deux, mais j’espère quand même faire une dizaine ou une vingtaine d’épisodes pour cette saison deux.

Et n’hésitez pas à me mettre un petit coup de pression quand vous sentez que ça fait longtemps que vous n’avez pas de mes nouvelles. Je vous embrasse fort. Je vous souhaite une merveilleuse rentrée au plaisir de vous retrouver en webinaires, en séminaires live à Saint-Etienne ou même à Paris, ou encore un programme digital. Il me tarde. Il me tarde de vous y retrouver. Je vous embrasse. A très bientôt. Bye.
Si ce podcast vous a plu et que vous désirez en savoir plus, n’hésitez pas à me rejoindre au sein d’une communauté d’hommes et de femmes inspirés et déterminés à vivre leur relation amoureuse avec plus de plaisir, de conscience, d’amour et de liberté pour une vie vibrante et en alignement avec leurs valeurs profondes. Pour cela, retrouvez moi sur mon site internet www.diamonjoy.fr ou sur les réseaux sociaux tels qu’ils sont indiqués dans le résumé de ce podcast. A très bientôt pour un nouvel épisode.