Bonjour à tous et bienvenue pour cet épisode 31 du podcast de Back 2 Love que j’enregistre alors qu’un petit et très vintage radiateur calor me réchauffe les papattes. Eh bien oui, cela m’a pris comme une envie soudaine et un élan spontané de vous retrouver sur ce canal qu’est le podcast et que j’avais laissé un peu de côté ces derniers mois. Mais qu’à cela ne tienne, me revoici. Me revoilà en tout cas pour cet épisode où j’ai envie de vous parler du fait d’aimer intensément et légèrement. Oui. De quoi parle t on ? Vous pourriez vous demander pourquoi est ce que j’ai décidé de choisir cet ce sujet aujourd’hui ? Eh bien, c’est parce que je remarque que finalement, cette proposition d’aimer intensément et légèrement n existe pas beaucoup.

Je trouve qu’elle n’est pas assez représentée sur la toile et du coup j’ai décidé de me faire l’avocate et aussi d’en profiter pour vous communiquer le fait que ça fait partie vraiment des choses que je vous accompagne à développer au cours de la Back to Love School, du programme de la Back to School que je vous propose tout au long de l’année et qui consiste à du coup apprendre à aimer intensément et légèrement. Et c’est un art d’aimer intensément et légèrement. C’est une maîtrise qui vaut de l’or, parce que ça veut dire qu’on peut garder tout le meilleur de chaque monde. Ça veut dire qu’on peut profondément aimer et se laisser toucher et et et rentrer dans l’intimité avec l’autre, tout en ayant cette légèreté d’âme et d’esprit qui nous permet de garder ce recul à chaque instant. Alors avant de philosopher tout de suite là dessus, rentrons dans le vif du sujet. Donc, pour en revenir à ma question initiale, d’où partons ? Eh bien on part d’une idée du couple il y a encore à peine 100 ans, où le couple était soit une transaction, un business solide et fructueux, où chacun avait son rôle et où on savait ce qu’on avait à faire.

C’était un peu le principe des mariages arrangés. D’ailleurs, le mariage arrangé n’a jamais empêché de l’amour de naître, bien sûr. Mais bon, pour beaucoup, c’est resté une affaire pour faire fructifier les avoirs de chacun et qu’on puisse construire une vie à deux qui ait du sens. Et puis sinon, on a aussi cette idée de l’amour passionné, passionnel, souvent douloureux, destructeur parce que parce qu’il y a de telles attentes par rapport à l’autre et ce qu’on croit qu’il est censé nous apporter et nous amener. Que souvent, lorsque l’on ouvre les yeux et que l’on réalise que tout cela repose avant tout sur nous, et bien la chute est douloureuse. Alors qu’est ce qui nous empêche aujourd’hui d’aimer intensément et légèrement la vieillesse ? Parce qu’aujourd’hui la légèreté n’est pas synonyme d’amour. On dit d’ailleurs d’une femme légère qu’elle multiplie les croquettes amoureuses. Et c’est drôle parce que j’ai vérifié, ça ne vaut pas pour les hommes cette expression un homme léger chez quelqu’un qui est assez rapide alors qu’une femme légère, c’est bien une une nana qui qui va à droite et à gauche, quoi.

Qu’est ce qui nous empêche d’aimer intensément et légèrement ? Eh bien c’est aussi parce qu’on pense que l’amour, le vrai, ça vient ratisser dans les profondeurs, ça bouscule, ça remue. Parce que c’est le destin. Parce que c’est le rouleau compresseur tant attendu qui nous laisse pourtant pas toujours dans de meilleures dispositions une fois qu’il s’en va. Ah bon ? On a vraiment envie de ce rouleau compresseur là ? Ah bon ? D’accord. Qu’est ce qui nous empêche d’aimer intensément, intelligemment ? Eh bien parce que sinon, on nous parle d’habitude de plan plan, études de confort et donc routage même. Pourrait on dire que ça ne va pas avec cette image là ? Et parce qu’on est dans un monde de dualité où on est soit l’un soit l’autre, où et les opposés n’ont rien à faire ensemble. Et pourtant je suis convaincue que c’est vers cela que l’on tend et que l’on va tous autant que ce que nous sommes. Oui, voilà. Alors ça veut dire quoi au juste ? Aimer intensément et légèrement ? Ben oui, tu sais très bien que avant de pouvoir philosopher sur quelque chose, il faut qu’on s’entende sur les définitions.

Eh bien ça veut dire, pour faire une analogie, que vouloir aimer en restant maître de soi à chaque instant, c’est un peu comme boire de l’eau chaude de téquila et se tenir comme si c’était de l’eau, tu vois Quel intérêt on passe à côté de tout fun, non ? Donc je prône d’aimer intensément, sans retenue. Et vive la dopamine dans le cerveau qui fout le bordel et brouille notre regard. Mais je prône aussi du recul, de la philosophie et de la légèreté. Bon dieu de merde ! Car oui, je pense qu’il est possible de vivre ce genre d’émotions à fond tout en choisissant de ne rien dramatiser et de ne rien exagérer et de ne pas en faire le sujet d’une vie pour autant. Tu vois ? Et oui, c’est bon aussi de savoir qu’avec le temps tout cela bouge, que l’amour amoureux se transforme en amour profond et que tout cela est un choix conscient et entier. Et parce que rien n’est gravé dans le marbre et que tout peut changer demain et qu’on a envie de profiter de chaque instant et de rencontres et de chaque rencontre significative avec délectation et passion.

Parce que personnellement, pouvoir jouer avec ces deux variables que sont l’intensité et la légèreté, je trouve que ça rend mon histoire. Par exemple avec Hervé, mon chéri, plus truculente, joyeuse, profonde et juvénile à la fois parce que je l’aime intensément et légèrement. Et que si ça doit s’arrêter demain, eh bien ça aussi, je choisis de le vivre à fond, sans économiser mes larmes et mes émotions de toute sorte, tout en ayant conscience que la vie est merveilleuse, que cette relation fait partie de moi et que j’ai confiance en moi et en la qualité des relations que je peux construire par la suite. Car oui, tout cela dépend de moi et c’est bien là le sujet. Donc aujourd’hui, le message je dirais Malicorne cosmique, que c’est justement que si tu sens que tu flippes, que tu passes parfois ou peut être systématiquement à côté de ce que la vie a à offrir de meilleur, à savoir faire de belles rencontres et en profiter pour te connaître mieux par la même occasion, alors tu ne te fais pas honneur.

Au final, il est temps que tu réalises que si tu ne prends pas le taureau par les cornes dès maintenant pour comprendre et résoudre profondément ce qui t’empêche de maîtriser ta vie amoureuse pour ne parler que de ça. Parce qu’il peut être d’autre chose qui t’ennuie dans ta vie que tu aimerais régler. Donc bref, qui t’empêche de maîtriser ta vie amoureuse comme tu le désires et de s’épanouir pleinement. Et bien tu vas le regretter, tu vas t’en vouloir et tu vas avoir l’impression d’avoir perdu du temps et de belles années de partage. Et tu sais quoi ? Ce ne sera pas qu’une impression. Et parce que tout ça, ça part de ta décision. Alors bon, je vais parler d’un truc qui moi m’a beaucoup marqué en termes de lectures ce dernier mois. Tu sais à quel point j’adore continuellement chercher, explorer de nouvelles approches de connaissance de soi, de mieux être pour la productivité, pour se sentir bien dans ses pompes, etc. Et j’ai lu la règle des cinq secondes de Mel Robbins. Donc Robbins écrit comme Tony Robbins, sauf qu’elle n’a rien à voir avec Tony et Mel, mais comme les trois premières lettres du prénom Mélanie, Bref et Mel Robbins a écrit cette cette règle des cinq secondes, alors je vais te la détailler en quelques minutes.

En fait, son histoire, c’est qu’elle est arrivée à un moment donné de sa vie où elle n’avait plus le goût de rien. Elle avait des enfants à amener à l’école tous les matins, au bus scolaire et à répétition. Elle se réveillait en retard parce qu’en fait, elle n’arrivait pas à sortir du lit et du coup, systématiquement, les enfants n’arrivent même pas à l’heure au bus scolaire. Donc il ira dans le bus. Donc c’était la course pour arriver à l’école. Bref, l’angoisse. Ce qui paraît paradoxal quand on y réfléchit bien parce qu’on se dit mais meuf, pourquoi tu te réveilles pas à temps pour accompagner tes enfants et pour pas se retrouver dans la merde ? C’est un peu l’histoire de notre vie, n’est ce pas ? C’est se savoir dans la merde ne nous suffit pas à en sortir, mais il y a des techniques qui nous aident à en sortir. Et voilà justement un de ces récits. Mel Robin avait un mal fou à s’extirper du lit chaque matin et avait essayé moult et moult ruses avec elle même pour y arriver, en vain.

Et puis un soir, en se couchant, la télé allumée dans la chambre, elle voit le décompte d’un décollage de fusée. Donc elle voit le fameux décompte que l’on connaît bien cinq, quatre, trois, deux, un ignition. Et là, top départ pour la fusée et elle se dit bah tiens, je vais essayer ça demain matin, quand mon réveil sonne, je vais lancer le décompte et puis je me lève. Ne sachant pas qu’elle venait de découvrir peut être une technique qui allait se répandre partout dans le monde comme une traînée de poudre. Plutôt jolie comme analogie avec la fusée. Bref. Et donc, le lendemain matin arrive le réveil sonne et le premier réflexe du cerveau, du mental du moins, c’est de dire Oh, il fait froid, oh ! Il fait nuit ! Oh ! Qu’on est bien ici ! Et à peine elle l’entend commencer à sortir ses jérémiades habituelles pour la grisette, pour la garder clouée dans le lit, elle lance le décompte. Cinq, quatre, trois, deux. Et hop, elle sort du lit.

Et là, sur sa lancée, prend sa douche, etc. Est à l’heure pour les enfants pour les déposer au bus scolaire. Elle se dit génial, j’ai peut être trouvé une technique pour sortir du lit tous les matins. Et bien eh bien non, elle avait trouvé bien plus que ça en fait, Elle s’est mise à le faire pour plein de choses. Parce qu’en fait, vous remarquerez, tu remarqueras Malicorne cosmique adoré, qu’il y a beaucoup de choses dans une journée auxquelles on pense, à laquelle on pense en se disant tiens, il faudrait que je fasse ça, ah tiens, il faut que je fasse une lessive, il faudrait que j’appelle ce truc administratif, tiens, il faudrait que je passe un coup de fil à ma super pote qui j’ai pas eu au téléphone depuis cinq mois. Tiens, ça serait bien que je réécrive un épisode de podcast. Euh tiens, c’est bien, je fais du sport ce matin, cette semaine. Et on a cet élan que l’on sait juste pour nous. Un trait.

Fondamentalement, on sait que c’est ce qui est bon pour nous. Et d’ailleurs il y a certaines de ces injonctions intérieures qui reviennent en boucle et qui ne nous lâchent pas et nous donnent du coup l’impression que nous sommes devenus des gros procrastinateurs. Et en fait, justement, il y a ce qu’on appelle parce que Robbie ayant découvert cette technique, a du coup après fait plein de recherches pour étayer la puissance de ce qu’elle avait découvert, pour comprendre pourquoi ça peut fonctionner aussi bien. En fait, il s’avère que entre le moment où on a cet élan d’une action qui nous paraît juste et que l’on s’est juste à un niveau profond finalement et intuitif pour nous, eh bien notre mental au bout, au delà de cinq secondes, se met à nous freiner. En fait, on a ce fameux mental qui nous freine dans l’action, qui nous freine dans le passage à l’acte constamment et d’arriver à court circuiter en fait ce réflexe du coup de freiner notre action. Eh bien eh bien voilà à quoi cela sert ce cinq, quatre, trois, deux, un.

Et ça marche très bien, et notamment dans ce sens, parce que si on fait un, deux, trois, quatre, cinq, et bien on continue en faisant six, sept, huit, neuf, dix. Donc on ne s’en sort pas, mais le 5 à 3, deux, un. Et c’est vrai que pour l’avoir expérimenté, c’est assez hallucinant à quel point quand on lance le décompte et qu’on pose un acte, en fait, juste le fait d’aller vers quelque chose, de se lever, de poser un mouvement, un acte. En fait, c’est comme si on n’avait plus besoin de réfléchir et on se mettait tout seul en action. Et on va au bout de l’action. Je vous donne un exemple parce que moi je fais ça avec le sport, parce que certains d’entre vous qui me connaissent depuis longtemps savent à quel point j’ai eu une bonne constitution physique relativement sportive. J’ai la chance d’être relativement tonique, mais à quel point ? Ces dernières années, ça a été pour moi un pensum de me remettre à une activité physique régulière.

Alors je sais très bien que cela me ferait un bien fou, tant au niveau du moral que du physique. Bref, je n’ai pas besoin de démontrer ici les avantages que ça a de mener une activité physique régulière sans pour autant rentrer dans des extrêmes. Évidemment, Le but, ce n’est pas que je devienne une sportive de haut niveau, ça n’a jamais été mon but, ça ne le sera à priori jamais. Mais bon, il ne faut pas dire Fontaine, je ne boirai jamais de ton eau. Et donc j’ai testé cette méthode du 5 à 3 de un pour me lancer dans ces exercices physiques que je voulais faire le matin, une dizaine de minutes, une quinzaine de minutes et qu’elle n’a pas été ma surprise une fois le décompte lancé et l’action mise en mouvement, de me retrouver dans ma tenue de sport et de commencer à faire mes exercices sans même me poser plus de question. Au delà de ce passage à l’action, ça m’a vraiment épaté. Alors je suis en plein expérimentation de cette approche, donc j’ai encore plein de choses à expérimenter.

Mais je vous encourage vraiment à mettre en place cette règle des cinq secondes et en tout cas à vous renseigner ou à la lire. En tout cas, une chose est sûre, c’est tous ceux qui s’en servent quotidiennement sont vraiment plus heureux que ce qui m’était avant. Et il y en a même certains qui s’en servent pour arrêter d’entretenir des pensées pourries. Vous savez, quand on sent qu’on a le moral un peu en berne et qu’on a tendance à ruminer des pensées de merde qui auraient tendance à nous foutre le moral en l’air, et bien certains s’en servent et lancent le décompte cinq, quatre, trois, deux, un pour aller justement couper le discours intérieur, là, le blabla intérieur, et pour passer à l’acte et faire des choses qui sont bien plus constructives et qui nous remettre dans une meilleure disposition d’esprit et de mental pour nos activités quotidiennes. Bref, si je te parle de cette méthode de la cinq que trois de ma beauté d’amour, c’est évidemment pour te donner une clé, une piste, un outil qui puisse t’aider à passer à l’acte.

Si tu sens que tu es à l’aube de vouloir prendre une décision importante pour toi, dont tu sais que ce serait absolument primordial, que tu passes à l’acte et que tu prennes soin de toi à ce niveau là et que tu repousses et repousse et repousse, et que tu te laisses freiner par ton mental. Arrête des 5 à 3 demain. En conclusion, aimer, c’est un peu comme ma philosophie préférée au quotidien, il faut le faire sérieusement sans se prendre au sérieux. Voilà, moi j’essaie de faire les choses comme ça dans ma vie. C’est un peu mon idée de la sagesse. Par exemple, je prends très au sérieux le programme de la back to school que j’ai créé et que je mets à votre service et à ton service, Ma licorne, parce que je suis absolument convaincue que ça change d’avis. Mais je ne me prends pas au sérieux pour autant. Tu vois la nuance ? Aimons celles et ceux qui nous entourent à fond, mais ne prenons pas en sérieux tout ce que l’on se raconte à nous mêmes à notre sujet, quand les choses ne sont pas ou ne vont pas comme on les attend, ou parce que la vie est ainsi faite et le sera jamais comme on l’attend.

Et c’est ça qui est génial. Et c’est ça qui en fait un voyage absolument fantastique et spectaculaire et plein de rebondissements et plein d’apprentissage. La vie est une fête, Ma licorne. Une expérience. Profitons en ! Et si tu sens que tu aimerais profiter mieux de cette existence en résolvant ce qui encombre ton appréciation et tes expériences amoureuses, alors ? Cinq, quatre, trois, deux, un. Tu vas sur mon site internet www.diamonjoy.fr, ou sur mon Instagram @back__2__love. Tu cliques dans la bio et tu réserves ton bilan amoureux offert avec moi. On ne sait jamais. C’est peut être le début du reste de ta vie, ma licorne. Merci d’avoir suivi ce podcast sorti de nulle part, sur un coup d’envie, sur un coup de tête, sur un coup de cœur et avec amour toujours.